Une amie a publié le 28 octobre dernier, sur son mur FB, un extrait des paroles de la chanson "Perlimpinpin" (1972) de Barbara :
[…] Car un enfant qui pleure qu'il soit de n'importe où est un enfant qui pleure
Car un enfant qui meurt au bout de vos fusils est un enfant qui meurt
Que c'est abominable d'avoir à choisir entre deux innocences
Que c'est abominable d'avoir pour ennemis, les rires de l'enfance…
J'aime, évidemment, les textes de Barbara. Mais là, sans doute parce que, au moment où j'ai lu son post, m'enveloppait l'obscurité de la nuit (ce n'est pas une métaphore, quoique...), j'ai senti venir l'audace de les "élargir" un peu :
[…] Car un humain qui pleure qu'il soit de n'importe où est un humain qui pleure
Car un humain qui meurt au bout de vos fusils est un humain qui meurt
Que c'est abominable d'avoir à choisir entre des innocences
Que c'est abominable d'avoir pour ennemis, les rires de nos enfances…