Chers vous qui me faites l'amitié de lire mes bla-bla, je ponds celui-ci pour vous dire qu'il n'y en aura plus ici pendant quelques temps...
Les journées n’étant que de vingt-quatre heures et devant consacrer au moins (pour ma part) six d’entre elles à dormir, je me vois contrainte par les réalités de ma vie du moment (mais c’est aussi une décision réfléchie et délibérée, parce que je pourrais ignorer lesdites réalités) de devoir faire des choix. Vous me direz, on en est toutes et tous là. C’est vrai.
Je ne détaillerai pas ici les raisons qui me font m’orienter vers le Schmilblick (objet imaginaire créé par l'humoriste Pierre Dac dans les années 1950 qui - selon son concepteur - ne sert absolument à rien et peut donc servir à tout car il est « rigoureusement intégral »), mais ce que je peux dire, c’est que j’entre en lutte. En réalité, dans plusieurs luttes : pour mon métier (cela inclut mes collègues et les parents d’élèves - sauf ceux qui sont trop cons - ainsi que, évidemment les élèves #CoeurSurEuxLesBichons), pour “mon” statut particulier dans ce métier (#TeamTZR) et pour mes projets perso-professionnels (à ce jour deux d’entre eux mitonnent sous les braises de l’incertitude, mais avec possibilités de révéler toutes leurs saveurs dans des feux de joie d’un travail à fournir, accompagné par des professionnels).
Je vais devoir produire des écrits, beaucoup, et même si j’ai l’immense chance d’écrire rapidement, il y a des rythmes qui ne sont soutenables par personne (à part un céphalopode ou Shiva himself). En plus, #CherryOnTheCake, il se trouve que le Rectorat a retrouvé trace de ouam (#BravoLesGensses) et m’a affectée dans l’un des collèges les plus cotons de la grande ville du coin. Bon, à priori, ce remplacement va durer deux semaines et, comme je suis à mi-temps cette année (que j’avais demandé justement l’année dernière pour avoir plus de temps pour écrire #MalinetteLaMeuf), ça devrait aller . Ce qui m’inquiète un chouïa, c’est que plusieurs collègues à qui j’ai annoncé être affectée là-bas m’ont dit, laconiquement : “Bon courage.”, comme ça, sans point d’exclamation, nan, une phrase affirmative qui fait flipper en vrai ; je commence ce lundi 20/11.
Voilà donc chers vous :) Je vais de ce pas me mettre à l’écriture d’un récit que je dois rendre dimanche soir. Si vous êtes d’ac (comme Pierre… #JeuDeMotPitoyableDe6h27), je veux bien que vous m’envoyiez de bonnes petites ondes pour que je ne flanche pas (quand même un peu sensible, émotive, impulsive, mélanco, la nana) dans tout le tralala à venir.
Prenez soin de vous ! (Ouais, genre je vous donne un ordre - ha ha ha ! Mais nan, l’impératif peut aussi avoir valeur de conseil).
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